Le gouvernement malien a décidé que les cours passeront dorénavant à la télé. Sauf que nous n'avons pas tous la télé, ni l'électricité à tout moment et à tout endroit.
Personne n'avait prévu une stagnation générale des activités en cette période de l’Histoire de l'humanité. Que faire ? Atermoyer et attendre ? Abandonner et larmoyer ? Adapter et se battre ?
Comme si ce n'était pas suffisant, il a fallu qu’un virus étranger et étrange vienne envenimer une conjecture déjà complexe et difficile. Entaillés par une crise multiforme économique, scolaire et sécuritaire, nous devons maintenant faire face à une crise sanitaire.
Il n’y a pas ce Malien qui est satisfait des services d'EDM SA (Energie du Mali), le principal fournisseur d’électricité du pays. Les délestages* couplés au coût élevé de l’électricité ainsi que la couverture qui ne s’étend qu’aux grandes villes harassent les citoyens, ralentissent l’émergence économique, technologique et industrielle. D’où l’appellation « Énergie du Mal ». Mais il y a une solution pour assurer l’accès à l’électricité sans coupure à tous les maliens.
À ce jour le Mali comptabilise zéro cas d’infection au coronavirus, mais mieux vaut prévenir que guérir. Alors voici quatre bonnes raisons pour vous de respecter les mesures barrières.
Avant le soleil, je me suis réveillé débonnaire pour écrire ces lignes revigorantes. Un acte culotté et totalement téméraire, aussi moqueur que de parler de meilleurs lendemains dans un pays où on cherche le pain du jour. Un pays où les urgences de l’heure, brouillent les perspectives d’avenir. Où le rêve est un luxe, ou l’espoir relève du chimérique.
« Trois choses amènent les hommes à nous témoigner leur préférence et à apporter leur soutien dans les élections : les services qu’on leur a rendus, les espérances qu’ils conçoivent et le fait qu’ils se sentent proches de nous et nous apprécient. »
Nous devons trouver l'astuce pour conjuguer Internet avec notre culture pour éduquer, conscientiser la population, pour créer le Mali dont nous rêvons. Vivement des médias à la fois éducatifs et culturels pour un nouveau Mali.
Chez moi on ne lisait pas. Nous sommes le peuple de l’oralité. La parole est le savoir, les vieillards, les griots en sont les dépositaires. De bouche à oreille, on véhiculait les connaissances.
Depuis 2012 le Mali est assis sur la margelle d’un puits, obligé de renaître et ou de disparaître dans le gouffre. Au Nord, l’emprise des bandits armés, au Sud les rivalités puériles d’égoïstes politiciens.
Hubert Petit est inscrit au Livre Guinness des records pour sa collection de diplômes universitaires. Il nous a livré quelques conseils pour mieux apprendre.
Sensibles aux signes avant-coureurs du dessèchement du fleuve Niger, les internautes maliens se liguent pour attirer l’attention sur l’urgence des mesures et des actions à entreprendre pour sauver le fleuve Niger.
Rencontre avec Dia Sacko qui a su profiter de l’implosion des nouvelles technologies en Afrique pour porter la culture de son pays au-delà des mers, en créant MaliCulture.
Je suis Mohammed, je vis dans la rue, et j'ai huit ans. Vous ne me voyez pas, pourtant, c'est Maître Coranique qui m'a mis là. Est-ce vraiment la vie que je mérite ?
Mais il ne suffit pas d’être jeune pour représenter la solution. Ce sont les qualités morales et éthiques, les compétences intrinsèques de tout un chacun, et notre capacité à mettre l’intérêt général au-dessus du personnel qui font qu’une nation prospère. Les jeunes oui, mais ceux qui ont les compétences, la vision, la volonté.
« Ce qui compte chez un homme, ce n’est pas la couleur de sa peau ou la texture de sa chevelure, mais la texture et la qualité de son âme » disait Martin Luther King. Pourquoi, alors, les noirs continuent-ils de promouvoir une fierté de leur couleur de peau ?
Chaque génération de jeunes africains a le devoir de nourrir un rêve, une utopie, pour l’Afrique, et de travailler avec acharnement à la réalisation de cette vision.
il est révoltant de voir que les jeunes Africains ne trouvent d’autres solutions aux tribulations quotidiennes que de braver la mer Méditerranée. Il faut s’intéresser réellement à la jeunesse, travailler à promouvoir un cadre propice à entrepreneuriat, l’éducation, ou risquer de se trouver face à des desperados.
Les problèmes du Mali ne sont pas imputables aux seuls politiques. L’édification du pays est une tache qui incombe d’abord à nous-mêmes, nous citoyens.
Une question que l’on me pose souvent, c’est « combien d’argent ton blog te rapporte ? » J'ai embrassé le blogging par passion, pas par intérêt financier.